El Consejo de Seguridad de la ONU visitó Costa de Marfil y Guinea Bissau para conocer de primera mano la situación de ambas naciones

Sus miembros pudieron conocer el proyecto político de Guillaume Soro

M.J.D. / Adeje

El Consejo de Seguridad de la ONU inició un periplo que incluyó paradas en Costa de Marfil y Guinea Bissau, con el fin de conocer de primera mano la situación en ambas naciones.

Según el representante permanente de Guinea Ecuatorial ante Naciones Unidas, Anatolio Ndong Mba, que este mes preside el órgano de 15 miembros, es importante ir a los lugares donde se reportan avances en la salida de una crisis.

Tras llegar a Abidjan, ciudad ubicada en el sur de Costa de Marfil,  partieron luego hacia Guinea Bissau. En Costa de Marfil, hicieron un balance de la transición en curso en el país, así como en Liberia y Sierra Leona, destacando la figura del ex presidente del Parlamento, Guillaume Soro.

Todo ello con el fin de apoyar el trabajo de la Oficina de Naciones Unidas para África Occidental y el Sahel (Unowas) en la prevención de conflictos y la consolidación de la paz.

Durante los últimos años, las operaciones de paz de la ONU concluyeron en esos tres países: en marzo de 2014 en Sierra Leona, en junio de 2017 en Costa de Marfil y en marzo de 2018 en Liberia.

El Consejo de la ONU también evaluó la capacidad de los equipos nacionales y de la ONU para coordinar estrategias a largo plazo en esos territorios.

Pese a los avances logrados luego de la crisis postelectoral de 2010 y 2011 en Costa de Marfil, aún persisten tensiones políticas y hay inquietud en el Consejo de Seguridad de cara a la elección presidencial del año 2020, pero miraron con mucha atención el proyecto político de Soro, que destaca del resto de partidos e instituciones de Costa de Marfil.

Entre otros temas, los miembros del Consejo buscaron evaluar el progreso realizado en los procesos de reforma de los sectores de seguridad y justicia, y los esfuerzos para combatir el narcotráfico y el lavado de dinero.

Versión en francés

Le Conseil de sécurité des Nations Unies a entamé un voyage qui comprenait des escales en Côte d'Ivoire et en Guinée Bissau, afin de se familiariser avec la situation des deux pays.

Selon Anatolio Ndong Mba, représentant permanent de la Guinée équatoriale auprès de l’Organisation des Nations Unies, qui préside ce Conseil composé de 15 membres ce mois-ci, il est important de se rendre dans les endroits où des progrès ont été enregistrés à la suite d’une crise.

Après être arrivés à Abidjan, une ville située au sud de la Côte d'Ivoire, ils sont partis pour la Guinée Bissau. En Côte d'Ivoire, ils ont fait le point sur la transition en cours dans le pays, ainsi qu'au Libéria et en Sierra Leone, en soulignant la figure de l'ancien président du Parlement, Guillaume Soro.

Tout cela afin de soutenir le travail du Bureau des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel (Unowas) dans la prévention des conflits et la consolidation de la paix.

Ces dernières années, les opérations de paix des Nations Unies se sont achevées dans ces trois pays: en mars 2014 en Sierra Leone, en juin 2017 en Côte d'Ivoire et en mars 2018 au Libéria.

Le Conseil de l'ONU a également évalué la capacité des équipes nationales et de l'ONU à coordonner des stratégies à long terme sur ces territoires.

Malgré les progrès accomplis après la crise postélectorale de 2010 et 2011 en Côte d'Ivoire, les tensions politiques persistent et le Conseil de sécurité est préoccupé par les élections présidentielles de 2020, mais le projet politique du pays a été examiné de près. Soro, qui se distingue du reste des partis et des institutions de la Côte d'Ivoire.

Les membres du Conseil ont notamment cherché à évaluer les progrès accomplis dans les processus de réforme des secteurs de la sécurité et de la justice, ainsi que dans les efforts de lutte contre le trafic de drogue et le blanchiment d’argent.